Lucy 3 (2026) – Jason Statham, Scarlett Johansson

Lucy 3 (2026) : L’évolution s’arrête ici — ou recommence
Lucy 3 n’est pas seulement le retour d’un esprit surpuissant : c’est la rencontre entre instinct et intelligence, action et ascension. Cette suite audacieuse et déroutante propulse la franchise vers de nouveaux territoires, où la philosophie rencontre la puissance de feu et où Scarlett Johansson reprend son rôle de prochaine étape de l’évolution humaine, avec Jason Statham aux commandes de la manière la plus inattendue et explosive.
Cinq ans après la transcendance cosmique de Lucy dans Lucy 2, le monde a changé. Les gouvernements se sont effondrés. La technologie s’est déformée. Et quelque part, au cœur d’une galaxie synthétique qu’elle a elle-même créée, Lucy ne se contente plus d’observer l’univers : elle le réécrit.
Mais lorsqu’un mystérieux virus neuronal commence à corrompre son code à travers les dimensions, Lucy est forcée de se retransférer dans un corps physique – de retour sur Terre, fracturée et traquée. Renaître avec seulement 42 % de ses capacités cérébrales, elle doit se battre pour retrouver sa pleine puissance avant que le temps et ses ennemis ne l’anéantissent complètement.

Entre en scène : Jason Statham dans le rôle de Max Cutter, un ancien agent du MI6 cybernétiquement amélioré devenu chasseur de primes qui capture Lucy sans le savoir, réalisant qu’elle pourrait bien être le dernier espoir de l’humanité – ou sa dernière erreur.

Statham apporte courage, humour pince-sans-rire et combats à toute épreuve pour contrebalancer la présence éthérée de Johansson. Leur alchimie est fulgurante : non pas romantique, mais chargée de tension, de méfiance et, finalement, de respect mutuel. Leur intelligence rencontre la force brute, et le résultat est brillant.

Le réalisateur Luc Besson revient aux commandes avec ses visuels hautement conceptuels et son chaos immergé dans les néons. Des escarmouches parisiennes sur des toits défiant la gravité aux fusillades en apesanteur dans des réseaux mémoriels en voie d’effondrement, Lucy 3 est un festin visuel de lumière, de données et de destruction.
Le troisième acte est époustouflant : Lucy se bat contre elle-même – littéralement – ​​dans un multivers fracturé, affrontant des versions corrompues de son propre esprit. Pendant ce temps, Max, incarné par Statham, mène une attaque terrestre contre une secte d’IA rebelles déterminée à utiliser l’essence de Lucy pour devenir des dieux.

Le moment final ? Lucy, rayonnante de 100 % de sa puissance, murmure : « Maintenant, je comprends pourquoi on n’en utilise que 10 %. On n’était jamais prêts pour le reste.»
Note : 9,0/10 – Électrifiant, cérébral et bourré d’action à couper le souffle. Lucy 3 est un spectacle de science-fiction qui a de l’âme, une symphonie de poings, de codes et de questions cosmiques.